-
Le martyre, c’est le seul moyen de devenir célèbre quand on n’a pas de talent.
1 -
Les amoureux campent rarement sur leurs positions : ils passent vite de l’inclination du cœur à l’inclinaison des corps…
2 -
Tu vois ce vide au-dessus de nos têtes,? C’est Dieu…Le silence, c’est Dieu, l’absence c’est Dieu. Dieu, c’est la solitude des hommes
1
-
Quand j’étais petit, ma mère m’a dit que le bonheur était la clé de la vie.
54
A l’école, quand on m’a demandé d’écrire ce que je voulais être plus tard, j’ai répondu « heureux ». Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, je leur ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie. -
Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, mais parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.
30 -
Je ne veux désormais collectionner que les moments de bonheur.
14
-
Les femmes polissent les manières, elles sont les vrais précepteurs du bon goût, les instigatrices de tous les dévouements. L’homme qui les chérit est rarement un barbare.
0 -
L’art est la magie délivrée du mensonge d’être vrai.
0 -
Il y a trois hameçons auxquels se prend la femme : le torse, le sentiment, le métal.
0
Articles
> Voir les articles
Livres
tellement vrai
Nul n’a reussi a se mettre dans la peau d’une fleure pour penser comme elle.Chercher donc a parler a leur place,serait vouloir expliquer ce que l’on ne connait pas.Nous sommes des hommes c’est le pour quoi nous expliquons nos sentiments;qui donc vous dit que les fleures ne savent pas qu’elles sont belles?
-La beauté est une idée très abstraite, elle n’a pas la même sinification ou forme elle peux même changer de sens selon les individus,les sociétés etc; chacun a son propre point de vu par rapport à la beauté, il n’existe aucun accord universel sur la beauté dû au très grand nombre de critères possibles.
-Viens ensuite la réflexion de tanguy de samos qui soulève une idée judicieuse « les fleurs … ont elles des sentiments humain… pensent elles…? etc ». Nous pourrions débatre sur se sujet pendant des heures, nul n’a cette réponse malheureusement donc passons.
Pour ses raisons, cette citation n’a plus lieu de continuer à partir de la deuxième phrase « On à tort […] et ne le savent pas. »
Il y a cependant une très forte ressemblance entre vous et ses fleurs mesdames;
Au printemps vous vous épanouissez,
En été vous resplendissez,
Et en automne vous fanez.